Patrick Bert

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Peux-tu te présenter en quelques lignes ?

Je suis un elfe qui n’est pas né au bon endroit. J’aurai du vivre une vie simple dans la forêt en compagnie des miens. Finalement, je me contente de ce monde et je m’évade par la lecture et l’écriture.

Depuis quand écris-tu, qu’est ce qui t’a motivé ?

J’écris « sérieusement » depuis 2012. Mon fils a lu quelques textes humoristiques que j’avais écrits pour un jeu de rôle en ligne. Il a apprécié et m’a demandé d’en écrire d’autres. Après en avoir rédigé quelques-uns, je me suis lancé dans l’écriture de mon premier roman.

Dans quel environnement et conditions écris-tu ?

J’ai la chance de pouvoir écrire en tous lieux sauf en voiture car j’ai le mal des transports. J’arrive à me concentrer et me soustraire au bruit ambiant s’il n’est pas trop important. Cependant, je reste plus efficace dans le calme chez moi.

As-tu des auteurs favoris ?

J’ai beaucoup lu Isaac Asimov, j’adore le côté « scientifique » qu’il donne à ses récits. Stephen King fait également partie de mes auteurs favoris, j’apprécie sa façon de créer une ambiance et le soin qu’il donne parfois à décrire des personnages secondaires. Dernièrement, j’ai découvert la plume de Robin Hobb qui a une imagination incroyable.

Quels sont tes projets ? tes news exclusives ?

J’ai beaucoup de projets en cours :
D’abord écrire le 5e tome d’Olgir le barde et ainsi finir la saga.
Continuer à développer l’univers des exilés pour lequel je fourmille d’idées.
Entamer une série de romans destinés à un public plus jeune.
Transposer le monde d’Olgir en bande dessinée.

Une citation qui t’inspire ?

Manger un elfe, ça compte comme fruits et légumes ?

Si tu devais conseiller un livre récent qui n’est pas le tien, et pourquoi ?

Gagner la guerre de Jean-Philippe Jaworski.
Ce roman est atypique sur de nombreux points, d’abord une époque peu usitée dans la fantasy : la renaissance italienne où des familles se disputent le pouvoir dans une cité-état. Le héros est un salaud de la pire espèce, mais on s’y attache et j’ai pris beaucoup de plaisir à suivre ses aventures. L’auteur fait preuve d’un humour noir qui colle parfaitement aux personnages du roman.

Si tu devais dîner avec une personnalité célèbre ; qui choisirais-tu et pourquoi ?

John Lang, alias Pen of Chaos, auteur du fameux donjon de Naheulbeulk.
Parce que je pense que nous avons beaucoup de choses en commun et je suis sûr que passerions une bonne soirée à se marrer.

Acus Vacum c’est ? Un groupe pharmaceutique ? Des Musiciens ? Autres ?

Un jeu de rôle, sans doute la suite de « In nomine Satanis/Magna Véritas ».

Qu’est-ce qu’il y a dans la fricadelle ?

Mon grand sens moral et un pistolet sur ma tempe m’interdisent de répondre à cette question.

Et avec tes frites ? Mayo ou Ketchup ?

Ni l’un, ni l’autre.

Tu es plutôt chat, chien ou Raton laveur ?

Plutôt chien, ce qui ne m’empêche pas d’aimer les chats, j’ai d’ailleurs les deux à la maison. Je n’ai pas encore essayé le raton laveur.

De quoi as-tu peur ?

De beaucoup de choses, mais je fais en sorte que ma peur ne m’empêche pas d’avancer et en général ça se passe plutôt bien (croise les doigts).

Quelle est ta destination de rêve et pourquoi ?

Un endroit chaud sous les tropiques où pour manger, tu n’as qu’à tendre la main et cueillir un fruit. D’abord, parce que je n’aime pas avoir froid. Ensuite, j’adore les fruits et j’aimerai tenter l’expérience d’une vie simple sans les soucis et les contraintes de notre vie moderne qui me paraît être une aberration.