Dario ALCIDE

Auteur


Questions Sérieuses ^^


– Peux-tu te présenter en quelques lignes ?

Je m’appelle Dario, j’ai la quarantaine et j’adore écrire ou raconter des histoires ! La plupart du temps j’y parle de mondes imaginaires, de science-fiction ou de super-pouvoirs. Tous mes récits ne mettent pourtant pas forcément en scène des vaisseaux, des gobelins ou des super-héros puisqu’il m’est aussi arrivé de travailler sur une romance… surnaturelle, c’est vrai, mais quand même !

– Depuis quand écris-tu, qu’est ce qui t’a motivé ?

J’écris depuis l’adolescence. Au début, je tentais d’écrire des scénarii de bandes dessinées. Et c’est ainsi que mon stylo s’est retrouvé pris dans l’engrenage. Au passage, le stylo s’est transformé en clavier et mes scénarii en proto-romans. Ne jamais réussir à terminer un projet (car il fallait au moins un partenaire dessinateur) est devenu mon moteur pour passer de scénariste à romancier. Aujourd’hui, si je continue d’écrire, c’est principalement parce que c’est ma passion. J’écris maintenant sur des sujets très variés et me lance même dans la rédaction d’articles de presse, quand l’occasion se présente.

– Dans quel environnement et conditions écris-tu ?

(Musique ? Silence ? Pièce particulière ? Tocs éventuels ?? ^^ )

Pour moi, écrire demande deux conditions importantes : solitude et musique. Produire un texte lorsque d’autres personnes occupent la même pièce que moi est très difficile. Il n’est donc pas rare que je poste un samouraï armé devant la porte pour éviter toute intrusion mal venue. Ensuite, il me faut de la musique. Que ce soit des musiques de films ou Two Steps From Hell, parfois de la musique classique ou des thèmes de relaxation, cela n’importe peu. J’évite cependant des titres trop chantants qui pourraient m’empêcher de me concentrer.
En revanche, je peux écrire à peu près n’importe où. Dans mon lit, à la lueur des bougies, dans le jardin à la lumière du soleil, dans une cave éclairée par des champignons phosphorescents. Ou bien dans le noir complet car mon clavier est rétroéclairé (la classe absolue !). Bref, les deux seules conditions sont la musique et la solitude.

– Une citation qui t’inspire ?

Je ne suis pas du genre citations en règle générale. En revanche, il faut avouer que ce que dit Orson Scott Card reste pour moi une vérité absolue et que je l’applique avec la régularité de l’horloge du Beffroi d’Arras 😉
Selon lui :
« Les écrivains doivent croire à la fois les deux choses suivantes :
1. L’histoire sur laquelle je suis en train de travailler est la plus grande œuvre de génie jamais écrite.
2. L’histoire sur laquelle je suis en train de travailler est un tas d’immondices. »
Je trouve ça tellement vrai et beau…

Sinon j’aime aussi la citation de Virgil, dans Abyss :
« Enlève pas ta petite culotte, bébé… »
Mais c’est pas le même genre 😉

– Si tu devais conseiller un livre que tu as lu & qui n’est pas le tien ?

Je proposerais deux trilogies, en fait. La première de Scott Westerfeld, les Midgnighters. Une séries trop peu connue compte tenu de son niveau d’excellence. On y suit un groupe d’ados qui, toutes les nuits, à minuit, sont les seuls à pouvoir vivre dans une sorte de monde à l’envers pendant une heure. Une 25ème heure qu’ils sont les seuls à pouvoir explorer mais qui recèle aussi quelques dangers…
Ensuite, j’aime aussi parler de la trilogie Dark Bane. Ça se passe dans l’univers de Star Wars, environ dix siècles avant l’épisode 4. Bane est un gamin qui va entrer dans une académie Sith et devenir rien moins que le plus puissant seigneur Sith, selon moi. Il va mettre fin à la fois à tous les autres Sith et à quelques-uns des plus puissants Jedi, dans le même combat. C’est aussi lui qui initie la règle des deux que l’on connait. Tout fan de Star Wars devrait connaitre et lire cette série !


Questions subsidiaires obligatoires ^^


– Si tu devais incarner au cinéma un personnage, qui choisirais-tu et pourquoi ?

J’aimerais pouvoir jouer Blade parce qu’il est trop cool. Tellement plus que Black Panther.

– Dans une pièce avec un zombie affamé, tu as un cure-dent, un peigne et un pot de confiture, comment peux-tu l’éliminer ?

Comme je suis ultra badass, je lui plante un cure dent dans l’œil pour détourner son attention. Je casse le pot de confiture en deux. Avec un des morceaux je lui tranche la tête. Quand c’est fini, je me passe un coup de peigne parce que je le vaux bien…

– A ton avis qu’est-ce qu’il y a dans le gloubi-boulga ?

C’est un peu comme dans les plats en sauce au restaurant, vaut mieux ne pas savoir. Si ça se trouve on y trouve de la bave d’escargot et du crottin de biquette alors mieux vaut garder la recette secrète…

– Si Dark-Vador était en couple, qui serait pour lui la meilleure partenaire ?

Quand Dark Vador est en couple, ça se finit mal, en général. Mais s’il devait vraiment remettre ça, Je le verrais bien avec Maléfique. Elle est comme lui, complètement incomprise…

– Tu es plutôt Team Poulpe, Ewoks ou Gremlins et pourquoi ?

Je suis plutôt du genre perso que Team. Mais si je dois choisir, j’irais plutôt du côté des Gremlins. Ils abusent bien leur monde en faisant croire qu’ils sont tout mignons alors qu’en fait ce sont des pourritures.

– Dans un duel de thé contre Chewbacca comment ferais-tu pour gagner ?

J’avoue, non sans honte, que je ne connaissais pas ce sport. Du coup, renseignements pris, je pense que je ne gagnerais pas contre Chewbacca.

– Te voilà transporté sur une planète inconnue, comment l’imagines-tu ?

Plate !!
Oui, d’ailleurs c’est aussi une citation que j’aime bien mais j’ignore son auteur. « Si notre Terre était une boule, elle ne s’appellerait pas planète mais boulette. Or c’est une planète… donc elle est plane ! » C’est imparable !
J’imagine donc une planète plate. Et ne croyez pas que je vous y placerais des trucs improbables comme des lutin-bus ou des villes flottantes. Je l’imaginerais plutôt comme un genre de paradis personnel. Donc vide ou presque. Avec des montagnes de neige éternelle pour skier toute l’année, des plages ensoleillées toute l’année aussi pour se détendre, et des plaines sauvages pour respirer le grand air en laissant mon esprit s’évader. J’ai des besoins simples, en fait…